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Départ en Dakar Dem Dick (bus TATA)
pour aller se faire
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manger aux marchés, puis bateau
jusqu'à l'île, sans grand monde grâce à l'heure |
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avancée...
Déjà de loin, l'île est belle, avec son fort chargé de
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souffrances et d'histoire, mais aussi
ses belles bâtisses coloniales |
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réaménagées par vengeance en pièges à
touristes toubabs. |
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Aujourd'hui, lîle inspire le calme et
la sérénité, les gens y ont l'air |
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heureux, pas agressifs du tout
(surtout en sortant de Sandaga !), |
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et ils vivent dans un cadre
merveilleux, ou chaque maison mérite sa photo. |
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Mais les souvenirs sont omniprésents.
Souffrance et délivrance sont à chaque |
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coin de rue...
Nous, entre deux émotions, on joue les touristes,
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On copine avec les vendeuses du petit
marché, on leur achète plein de trucs, et |
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enfin je peux vous montrer
l'intérieur d'une boutique... |
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Retour à la réalité, visite de la
maison des esclaves, belle à première vue, |
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Mais ce sont les quartiers des
colons, les esclaves devant se contenter de caves sordides |
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en attendant de franchir la porte
sans retour, symbole du départ sans retour, |
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qui a vu défiler d'innombrables
esclaves qui ne reviendront jamais... |
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Mais la vie a repris sur l'île, les
bateaux défilent toujours,
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Mais pour amener des touristes, au
grand plaisir des habitants |
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Les gens partent, il ne reste
quasiment que nous sur l'île, le pied... |
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Chaque ruelle est plus belle que la
précédente, les couleurs sont
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chatoyantes, même les chats sont
beaux, ici... |
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Trop tard pour visiter l'ancien fort,
tant pis, les rues et les gens sont bien
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plus beaux et intéressants...
Et comme d'habitude,
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On découvre de nouveaux animaux
inconnus dans nos contrées lointaines... |
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Un petit tour devant l'église, parce
que l'île est aussi un modèle de tolérance, |
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enchaîné avec des gambas et crevettes
grillées délicieuses, seuls sur la plage... |
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Et retour à la maison, les bras
chargés de souvenirs, encore une fois... |